Un récit d’aventure façonné en papier
La progression s’articule autour d’une carte mystérieuse confiée par la princesse Peach : indices cryptiques, ruelles peuplées de Maskass opportunistes et archives poussiéreuses guident Mario d’un chapitre à l’autre. Les dialogues alternent humour et légers clins d’œil méta, offrant une galerie de compagnons variés — Goombella la chercheuse, Koops l’apprenti vaillant ou Bombart le vieux Bob-Omb — dont les compétences scénaristiques comme l’analyse d’ennemis ou l’ouverture de passages influent sur le rythme de la quête.
Des combats au tour par tour interactifs
Chaque affrontement se déroule sur la scène d’un théâtre miniature, devant un public qui réagit aux performances. Les actions de Mario, de ses alliés et des adversaires reposent sur un timing précis : appuyer au bon moment accroît l’impact d’un marteau ou réduit les dégâts d’un saut, tandis que les attaques combinées nécessitent une coordination gestuelle différente pour chaque duo. Les Points Étoile collectés nourrissent un éventail de pouvoirs spéciaux, encourageant la planification entre énergie offensive, soin et contrôle de foule.
Transformations, dioramas et confort moderne
Mario adopte plusieurs formes pour contourner les obstacles : avion en papier pour planer au-dessus des gouffres, tube serré pour se faufiler dans les fissures ou bateau pliable pour naviguer sur les canaux. Ces métamorphoses, intégrées directement au level-design, entretiennent la variété des énigmes environnementales. La version remasterisée actualise textures et effets de lumière tout en préservant le style aquarelle d’origine ; elle ajoute sauvegarde rapide, journal de quêtes et indices visuels optionnels, rendant l’expérience aussi fluide pour les nouveaux joueurs que pour les nostalgiques du volet GameCube.