Un système de classes évolutif
Le recrutement repose sur vingt-et-une classes, du Chevalier protecteur au Gunnerslinger agile, que l’on peut fusionner par paires pour débloquer des arbres de compétences hybrides. Cette liberté permet de façonner, par exemple, un Arbalétrier-Barde capable de soutiens sonores tout en perforant l’armure ennemie, ou un Mage-Assassin spécialisé dans les frappes élémentaires furtives. L’équipement récupéré sur le terrain renforce encore les spécificités : talismans réduisant le temps de recharge, bottes de grappin pour gagner un étage en un tour, ou toniques conférant des effets de zone à une attaque simple.
Des cartes au design dynamique
Les niveaux introduisent régulièrement des mécaniques qui cassent la routine du SRPG classique : ascenseurs qu’il faut alimenter, statues à pivoter pour ouvrir des couloirs secrets ou ponts coulissants modulant l’avancée de la cavalerie. La verticalité favorise la synergie des classes : un Archer placé sur une tour abat des cibles protégées, tandis qu’un Franc-tireur à lunettes neutralise les éclaireurs embusqués. La présence d’« boss de siège », tels qu’un golem multi-segments ou une catapulte déplaçable, impose de coordonner groupes de frappe et unités de diversion pour éviter l’enlisement.
Progression et rejouabilité renforcées
Entre deux missions, la base d’opérations permet d’améliorer armes, traits de caractère et aptitudes passives à l’aide de matériaux gagnés en quête ou en mode horde. Trois niveaux de difficulté adaptés aux joueurs occasionnels, intermédiaires et vétérans régulent les ressources disponibles et l’agressivité de l’IA ; achever la campagne débloque un mode hardcore qui introduit blessures permanentes et élimination définitive des unités perdues. Qu’il s’agisse de parfaire une équipe hybride pour la gloire ou de repousser des vagues infinies, Absolute Tactics : Daughters of Mercy propose un terrain d’expérimentation presque infini pour les stratèges en quête de variété et de profondeur.