Un système de combat viscéral et évolutif
Le moteur FLESH simule l’impact de chaque coup avec une précision anatomique : os fracturés, chairs lacérées et réactions physiques différentes selon la zone touchée. Les armes, usées par l’utilisation, se réparent ou s’améliorent sur des établis éparpillés dans la ville, ajoutant effets élémentaires ou capacités spéciales. Les compétences se débloquent via un jeu de cartes modulables ; réorganiser le deck à tout moment permet d’alterner entre contre-attaques explosives, esquives amplifiées ou finishers acrobatiques, offrant une profondeur tactique sans alourdir le tempo.
Un terrain de jeu ouvert et vivant
Los Angeles et Santa Monica sont reconstituées en districts interconnectés, de Venice Beach aux collines résidentielles, chacun proposant quêtes secondaires, points d’intérêt et événements dynamiques où civils non infectés réclament assistance. Les environnements favorisent l’expérimentation : projeter un bidon d’essence sur un carrefour, déclencher les gicleurs d’un jardin ou réactiver le courant dans une ruelle transforme instantanément la configuration tactique. La verticalité des décors – terrasses, toits de food-trucks, balcons d’hôtel – offre des angles d’approche multiples pour surprendre des hordes attirées par le bruit ou la lumière.
Personnalisation et coopération
Six protagonistes jouables, chacun doté d’attributs et talents initiaux distincts, autorisent des styles variés : vitesse accrue, résistance aux dégâts ou aptitude à générer des effets de rage plus rapidement. Le mode coopération en ligne synchronise la progression des missions et partage le butin, tandis qu’un équilibrage adaptatif ajuste le niveau des ennemis selon la composition de l’escouade, garantissant un défi constant sans brider la liberté d’exploration individuelle. Les défis communautaires, qui comptabilisent zombies éliminés ou objectifs environnementaux réalisés, débloquent cosmétiques et cartes de compétence inédites, prolongeant l’intérêt à long terme pour les amateurs de complétion.
« A une époque ou jeuxvideo.com était encore un site de jeux videos.. »
c’est tellement vrai !